Subiruseke Retrouve le sourire

Ensemble redonnons espoir

Des espaces de rencontres et d'échanges

Reconstruire les liens détruits par le génocide

Assemblée Générale du 30 Novembre 2024 à Nantes

Nous avons accueilli deux nouvelles personnes au sein de l’association, Aurélie BAXA professeure de géographie au Lycée la Joliverie rencontrée lors d’une action dans le même lycée en 2024 et Sonia UWITONZE jeune rwandaise étudiante à Nantes, rencontrée lors de la commémoration 2024.

ORDRE DU JOUR
1 – Rapport Moral 2023-2024 et Financier 2023
2 – Vote des rapports moral et financier
3 – Perspectives 2025
4 – Renouvellement du CA (et du bureau)
5 – Questions et résolutions diverses

30ème commémoration

Une promesse : une plaque mémorielle pour un hommage visible et permanent !

Le préfet de la région Pays-de-la-Loire, Préfet de la Loire-Atlantique, a invité l’association subiruseke à participer à la journée nationale de commémoration du génocide des Tutsi, qui s’est déroulée le dimanche 7 avril 2024, à 11 h, au cimetière de la Chauvinière à Nantes.

Un moment de recueillement suivi d’une collation ont été organisés au Carmel apostolique situé 4 rue censive du tertre, à Nantes

Nous vous remercions pour votre présence et votre soutien.

Nos interventions 2024 en milieu scolaire

Lycée la Joliverie : « Rwanda, la justice et la
mémoire au service de la démocratie »

En collaboration avec notre association, les enseignants Aurèlie BAXA et Arnaud GEFFROY, les classes de Terminale Générale 1 et 2 ont réalisé un travail dédié à la justice et à la mémoire qui a abouti à une restitution de deux grandes fresques réalisées avec la collaboration du peintre/graffeur PEDRO.

La restitution a débuté par une projection du film « Après coup » de Susan Solomon et Amélie Schafer, suivi par une interview des élèves de Franck Kamali, rescapé du génocide des Tutsi et ancien élève de la Joliverie.

Ce fut un moment fort qui a résonné comme une consolation au moment même où le projet du lieu de mémoire n’avait pas abouti. Notre présence auprès des élèves a été encore une fois
essentielle dans l’enseignement de l’histoire du génocide des Tutsi.

- Jardin Pédagogique pour la Paix -
pour suivre l'avancement du projet...

Samedi 18 février 2023
Subiruseke etait en partenariat avec Tissé Métisse

Hèlene Grandhomme Béata Umubyeyi Mairesse

Tout d’abord, nous voulons remercier Béata Umubyeyi Mairesse pour sa présence et son soutien. Nos remerciements s’adressent également aux personnes qui se sont déplacées pour l’écouter avec intérêt et émotion.

Nous sommes très heureux de cette première collaboration avec l’association Tissé Métisse, un merci tout particulier à Hélène Grandhomme.Au sein d’une recherche et d’une réflexion commune, nous avons pu faire venir des livres du Rwanda, disponibles au fonds documentaire actuellement.

C’est une action importante pour notre association, qui œuvre pour la réflexion concernant la mémoire des génocides, dans les écoles également. Nous informons et nous sensibilisons les publics jeunes sur la dangerosité de l’exclusion de l’autre, parce qu’il est différent de nous.

Nous organisons également des événements plus festifs autour de la culture rwandaise, qui n’ont pas pu être organisés depuis la crise sanitaire.

C’est à ce titre que nous voulions vous présenter une auteure que nous aimons tout particulièrement pour la malice de sa poésie, la profondeur de ses entrailles et l’amour de ses deux langues.

LE BUREAU

Amélie Schafer-MutarabayirePrésidente

Muriel RousseauVice Présidente

Carole Mutesi Schafer-MutarabayireSécretaire générale

Nicolas GihanaTrésorier

Reconstruire les liens détruits par le génocide

Un génocide cherche toujours à détruire un peuple et sa descendance, à anéantir toute possibilité de transmission: il s’attaque à l’humain, à sa mémoire, à sa culture. Au Rwanda, la plupart des rescapés n’ont plus ou presque plus d’enfants, les enfants n’ont plus de parents, plus de tantes, plus de cousins, plus d’oncles…

On rencontre au Rwanda les personnes qui ne vivront jamais les rituels qui rythment la vie, qui n’auront pas l’occasion de vivre une naissance, de marier leur fils ou leur fille, de visiter un parent malade, d’enterrer un des leurs, mort de vieillesse.

27 ans après, les séquelles  sont toujours prégnantes, le travail de reconstruction psychique, de sauvegarde de la mémoire et de la paix restent une priorité.

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